OBJECTIF
L’étude, la défense et les intérêts économiques, sociaux et moraux de nos membres. (S.R. 1964, c. 146, a. 6)
MISSION
La mission première de la CPMDQ est de rassembler un grand nombre de praticiens partageant un intérêt commun : promouvoir l’autoguérison du corps grâce à des méthodes naturelles et holistiques, afin de favoriser le bien-être physique, mental, émotionnel et spirituel.
La CPMDQ a également pour mandat de regrouper des fédérations syndicales, des syndicats professionnels et des sections locales, afin de renforcer la représentativité et la défense collective de ses membres.
VISION
Dans leurs pratiques multidisciplinaires, les membres de la CPMDQ considèrent la personne dans sa globalité. Leur approche reconnaît que l’être humain s’exprime et interagit sur plusieurs plans : physique, émotionnel, mental, spirituel, énergétique, socioculturel et même planétaire (écologique).
Cette vision globale guide leur pratique et leur engagement envers la santé intégrale et durable.
MÉDECINE DOUCE : DÉFINITION
La médecine douce, également appelée médecine naturelle, adopte une approche holistique qui tient compte de tous les aspects de la personne. Elle ne se limite pas à traiter les symptômes, mais cherche à identifier et à corriger les causes profondes des déséquilibres.
De nature essentiellement préventive, elle vise à maintenir ou rétablir la santé par des moyens naturels, tels que :
- l’exercice physique,
- la respiration et la relaxation,
- une alimentation saine,
- les plantes médicinales,
- l’homéopathie,
- les thérapies manuelles,
- les approches psychocorporelles et spirituelles, etc.
Le praticien en médecine douce s’attache à réactiver les capacités d’autoguérison propres à chaque individu. Pour ce faire, il établit un bilan de vitalité (qui ne constitue pas un diagnostic médical), afin d’évaluer le niveau de vitalité, les surcharges ou carences, et de stimuler les forces de l’organisme par des moyens naturels.
LE RÔLE DU PRATICIEN EN MÉDECINE DOUCE
Le praticien assume une double mission :
- Thérapeute : accompagner la personne dans le rétablissement de sa santé.
- Éducateur de santé : transmettre des conseils d’hygiène de vie afin de préserver la santé sur le long terme.
Un praticien en médecine douce ne doit jamais créer de dépendance avec ses clients. Au contraire, son rôle est de les guider vers l’autonomie, en les rendant pleinement acteurs de leur propre santé et de leur bien-être.